En reprenant le court métrage “L’homme perdu” (2017)

Ce texte fait suite à la projection d’un court métrage, réalisé par une amie, par ailleurs peintre, qui avait de longues années accompagné son père dans le naufrage de la maladie d’Alzheimer. Je le lui avais adressé en privé, après coup, faute d’avoir été capable de trouver des mots qui fassent sens le jour de la projection. Avec son autorisation, il me parait utile de le mettre en ligne, cette épreuve, en acte ou en puissance, étant devenue le lot commun de tant de tant de gens qu’elle hante désormais notre société, dans cette zone de ténèbres qui est l’envers de toute culture, et où se nichent ses vérités les plus
profondes.

Mis en ligne le 02/07/22

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